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Les Bruissements

2011/12

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Résidence d’écrivain 2010 / Dorcy Rugamba

Conseil régional d'Ile-de-France, ville de Trappes, médiathèque Anatole France / Trappes, Maison de la Poésie à Saint-Quentin-en-Yvelines, Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation des Yvelines (SPIP) / Maison d’arrêt de Bois d’Arcy

Les Ateliers Urbains

La ville de Montigny-le-Bretonneux, maison de quartier André Malraux / Montigny-le-Bretonneux

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Affiches Grand bruit 2010, 2011, 2012 et 2013 Mélanie Even
Affiche Grand bruit 2009 Pierre Antoine Thierry

Photo Grand bruit 2012 Homme-bulle, 2006 © Emilio López-Menchero, avec l’aimable autorisation de la galerie Nadja Vilenne, Liège

Les bruissements de la langue est une formule empruntée à Roland Barthes in Le bruissement de la langue - Editions Points.

RÉFÉRENCES : À lire et à voir

BRUISSEMENTS

TITRE ARTICLE

Par Juliette Garcia*

 

Quand on part, que prend-on ?

 

Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?

 

Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !

 

Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.

 

J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?

 

Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?

 

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

 

*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes

TITRE DEUXIEME ARTICLE

Par Juliette Garcia*

 

Quand on part, que prend-on ?

 

Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?

 

Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !

 

Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.

 

J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?

 

Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?

 

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

 

*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes

TITRE TROISIEME ARTICLE

Par Juliette Garcia*

 

Quand on part, que prend-on ?

 

Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?

 

Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !

 

Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.

 

J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?

 

Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?

 

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

 

*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes

TITRE QUATRIEME ARTICLE

Par Juliette Garcia*

 

Quand on part, que prend-on ?

 

Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?

 

Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !

 

Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.

 

J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?

 

Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?

 

Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?

 

*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes