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PARTENAIRES
Les Bruissements
2011/12
Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, réseau des médiathèques de Saint-Quentin-en-Yvelines, la Ferme de Bel Ebat / théâtre de Guyancourt, rectorat de Versailles, Centre National du Théâtre, Maison Antoine Vitez / centre international de la traduction théâtrale, la Maison d'Europe et d'Orient, ville de Guyancourt
Résidence d’écrivain 2010 / Dorcy Rugamba
Conseil régional d'Ile-de-France, ville de Trappes, médiathèque Anatole France / Trappes, Maison de la Poésie à Saint-Quentin-en-Yvelines, Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation des Yvelines (SPIP) / Maison d’arrêt de Bois d’Arcy
Les Ateliers Urbains
La ville de Montigny-le-Bretonneux, maison de quartier André Malraux / Montigny-le-Bretonneux
CRÉDITS
Webdesign et développement : Minyin Tu, Meddy Messaoudi, Mélanie Even
Affiches Grand bruit 2010, 2011, 2012 et 2013 Mélanie Even
Affiche Grand bruit 2009 Pierre Antoine Thierry
Photo Grand bruit 2012 Homme-bulle, 2006 © Emilio López-Menchero, avec l’aimable autorisation de la galerie Nadja Vilenne, Liège
Les bruissements de la langue est une formule empruntée à Roland Barthes in Le bruissement de la langue - Editions Points.
LIENS
- Centre National du Théâtre - www.cnt.asso.fr
- Réseau des médiathèques de Saint-Quentin-en-Yvelines - www.mediatheques.agglo-sqy.fr
- Maison Antoine Vitez / Centre international de la traduction théâtrale - www.maisonantoinevitez.com
- Collectif Inouï - www.collectif-inoui.org
- La Ferme de Bel Ebat / théâtre de Guyancourt - www.lafermedebelebat.fr
- Editions Théâtrales - www.editionstheatrales.fr
- Nicolas Guadagno - http://nicolasguadagno.com
- ArchiPass - http://www.myspace.com/archipass
- La Friche des Lacs de l'Essonne - http://www.amin-theatre.fr/fr/
RÉFÉRENCES : À lire et à voir
BRUISSEMENTS
TITRE ARTICLE
Par Juliette Garcia*
Quand on part, que prend-on ?
Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?
Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !
Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.
J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?
Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes
TITRE DEUXIEME ARTICLE
Par Juliette Garcia*
Quand on part, que prend-on ?
Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?
Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !
Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.
J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?
Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes
TITRE TROISIEME ARTICLE
Par Juliette Garcia*
Quand on part, que prend-on ?
Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?
Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !
Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.
J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?
Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes
TITRE QUATRIEME ARTICLE
Par Juliette Garcia*
Quand on part, que prend-on ?
Cette question on se la pose pour la valise des vacances.
Mais quand on part vraiment ? pour construire sa vie ailleurs… que prend-on ?
Emmène-t-on seulement des choses utiles ou aussi des objets-fétiches ?
Prend-on tout ce que l'on peut, quitte à en laisser en chemin, ou voyage-t-on léger dès le seuil de la porte ?
Je serais bien en peine de répondre à cette question, moi qui transporte toujours “ma maison” avec moi, telle une tortue !
Moi qui m'encombre tant que tout déménagement devient un enfer !
Je suppose que cela dépend si le départ est précipité ou minutieusement préparé.
Quelqu'un raconte qu'une femme migrante n'avait rien emporté avec elle qu'un rouge à lèvres : sa féminité.
J'ai remarqué dans beaucoup de témoignages que les personnes qui avaient fait ce type de voyage avaient une grande foi.
J'imagine que quand on croit si fort en Dieu, on est certain qu'il pourvoira à tous nos besoins. Alors à quoi bon se charger ?
Le sac est un mystère.
Quel rapport entre le sac du départ et celui de l’arrivée, à supposer qu'on arrive ?
Comment s'est-il transformé en chemin ?
Et ces gens qui arrivent ici, sans aucun doute, ils avaient plus d'un tour dans leur sac, non ?
*Juliette Garcia est bibliothécaire à la médiathèque Anatole France de Trappes



